Alors que mon cerveau est à deux doigts du court-circuit, je continue de scroller mes écrans jusqu’à découvrir l’existence d’une créature qui m’hypnotise : le blob. Au-delà de sa beauté et de sa fluidité, le blob incarne une simplicité d’être au monde que je lui envie. Je décide alors d’adopter Blobby, avec qui je noue une relation profonde, affective et thérapeutique. Alors que Blobby étire ses longs bras gluants avec grâce et sérénité, je suffoque, je surchauffe, je déborde. Blobby m’apaise.